Dernière mise à jour le 26 octobre 2025
Ecrire à Tokyo a 5 ans.
Session #63 : lundi 1er décembre à 19h, heure du Japon
Thème : Expériences de libraire, discussion et échange entre Renaud-Selim Sanli, libraire et éditeur aux éditions météores (https://editionsmeteores.com/
Session #64 : 13 décembre : apéro à Tokyo
Bientôt : 2026, Ecrire à Tokyo, Saison 3.
Prélude et tâtonnements d’intentions pour l’année 2026 : En 2026, Ecrire à Tokyo évolue selon deux dimensions. Les sessions en ligne ne seront plus mensuelles mais “à la demande”, ce qui nécessite des éclaircissements encore indisponibles parce qu’encore dans les remugles du tâtonnement. Il s’agira de sessions thématiques expressement organisées sur la base d’une participation sûre d’un quorum suffisant de personnes et d’intervenants. La pérennité d’Ecrire à Tokyo va se jouer sur cela, mais aussi par la mise au centre de l’intention de la solidarité. Elle se traduira d’abord par la tenue d’un apéritif mensuel à Tokyo dès janvier 2026, probablement dans le quartier Koenji, sans préparatifs particuliers sinon qu’une date et une heure annoncées au préalable. Les participants hors de Tokyo seront en conséquence lésés de cette opportunité de rencontre, ce qui est dommageable, il faut le convenir, sauf bien entendu à l’occasion de passages que l’on souhaitera se transformer en opportunités de renforcer des liens amicaux et de solidarité tels qu’ils existent déjà après 5 années d’expériences. On sera vigilant plus que jamais à éviter le moindre entre-soi et pratiquer l’ouverture, aussi pour inciter à l’ouverture réciproque. La transnationalité des initiatives de rencontres à distance et in situ sera aussi un axe d’activisme créatif. il s’agit de favoriser les rencontres au-delà des distances et des frontières. Tokyo comme node transnational est désormais à appréhender comme figurant dans un réseau de mobilités, autant mentales que parfois physiques. Ecrire à Tokyo ne se limite pas à la performance d’écriture dans un lieu géographique iconique. La préposition “à” dans Ecrire à Tokyo doit plus jamais être comprise comme incluant les sens et ressentis conséquents des énoncés de “sur, au sujet, hors sujet de, dans la perspective de, au-delà de”, et toutes les idées qui vous viennent et viendront, entre associations logiques et contradictoires. Le foutraque, ce que les LLM sont incapables de dérouler, parce que tout ne peut pas être clarifié, codifié et algorithmé, doit figurer joyeusement dans les modalités implicites d’agir d’EàT, au risque de disparaître par fatigue. L’écriture reste le sujet d’Ecrire à Tokyo, mais il s’agit de voir plus grand, multidimensionnel dans les perspectives et les réflexions. On s’atellera aussi à la tâche de faire participer des intervenants transnationaux et hors du champ tokyoïte et japonais, et même hors du champ des écritures, parce que le monde est bien plus grand, et les vécus en nombres incalculables.
Sessions précédentes
Bienvenue
Depuis juillet 2020, Ecrire à Tokyo est une zone de dialogue expérimental et convivial d’étude indépendante et de réflexions sur l’écriture littéraire en langue française avec Tokyo et le Japon en perspective à degrés très divers et focales très variables. Il s’agit d’un salon littéraire d’écritures indépendantes en ligne.
Le dialogue engagé se situe avec lucidité et intentionnellement hors du fétichisme, des génuflexions, des fantasmes ésotériques, des engouements badins hédonistes, des grandiloquences péremptoires de l’autorat magistral, pâmoisons élitistes et autres titillations que suscite bien souvent le Japon dans la francophonie au moins.
Nous nous positionnons avec audace, calme et aplomb hors des monopoles discursifs marchands autour de l’objet Japon, l’écriture étant le sujet du verbe étudier.
Ce dialogue se développe autour de thématiques multiples sous la forme d’un rendez-vous mensuel en ligne initié depuis Tokyo, par Julien Bielka et Lionel Dersot.
Les sessions ont lieu une fois par mois un samedi à 19h, heure du Japon, ce qui permet en particulier aux participants d’Europe et d’Asie de participer aussi.
Cette dynamique conviviale est ouverte aux participants du monde entier, amateurs ou professionnels. On peut écrire à Tokyo de Berlin. On peut être à Tokyo, et écrire thématiquement et mentalement ailleurs.
Aucun espace de dialogue n’existait organisé par des individus – auteurs ou pas – pour qui l’écriture questionne, avec Tokyo et le Japon en fond d’écran plus ou moins affiché, écriture qui compte comme activité principale ou sujet secondaire mais d’importance pour soi, écriture qui interpelle et donne envie d’y réfléchir et d’en parler, libres des allégeances qui limitent et excluent. C’est chose faite depuis juillet 2020.
Les participants qui écrivent, d’autres non, se trouvent autant à Tokyo qu’ailleurs au Japon, à Paris, à Saïgon et parfois entre deux avions.
Ecrire à Tokyo est une dynamique sans inscription préalable. Pour obtenir le lien vers la session prochaine, il suffit de demander à figurer dans la boucle des annonces à ecrireatokyo@gmail.com.
Ambitions
Les Saisons d’ecrire à Tokyo
Ecrire à Tokyo, Saison 1 : juillet 2020~septembre 2024. 4 ans, 50 sessions, un livre. Ecrire à Tokyo, Saison 2 : octobre 2024~décembre 2025 1 an, 14 sessions Ecrire à Tokyo, Saison 3 : Bientôt.
Ecrire à Tokyo en très bref
- Quoi : une rencontre mensuelle conviviale de réflexions et d’études sur les écritures pratiquant l’ouverture, avec sérieux, engagement, optimisme, accueillant et sans inscription. Tokyo et le Japon ne sont que deux dimensions parmi les possibles.
- Quand : une fois par mois à 19h, heure du Japon, et puis s’en vont.
- Où : en ligne.
- Pour qui : tout le monde qui écrit ou pour qui l’écriture interpelle, avec Tokyo et le Japon en perspective ou pas, mais sans les fétichismes et fantasmes associés. Pas de diplômes requis.
- Objectifs : comprendre, inciter à écrire, créer du lien.
- Méthode : exposés et échanges à bâtons rompus autour des écritures contemporaines, de ses projets ou écritures en cours, pour donner à réfléchir, soutenir et inspirer. Nous abordons des thématiques où Tokyo et le Japon ne sont ni incontournables, ni nécessaires.
- Se tenir au courant : il suffit de demander à figurer dans la boucle des annonces peu nombreuses, dont celle annonçant le lien de la session à venir. Les destinataires de cette boucle ne sont pas anonymes, et y figurent en .cc.
- Comment ne plus figurer dans la boucle? Il suffit de le demander.
- Contact pour en savoir plus ecrireatokyo@gmail.com
Ecrire à Tokyo en moins bref
Ecrirea.tokyo est une zone de dialogue et d’étude sur l’écriture littéraire en langue française avec Tokyo et le Japon en perspective à géométrie variable, hors le fétichisme pour l’objet Japon, se pratiquant sous la forme d’une réunion thématique mensuelle en ligne, initiée en juillet 2020 depuis Tokyo par Julien Bielka et Lionel Dersot, avec des participants au Japon et hors du Japon.
Nous sommes observateurs amateurs des théories mais surtout des pratiques littéraires contemporaines dans une perspective allochtone ou pas, transnationale, avec Tokyo et le Japon dans le rétroviseur à densité variable, comme sujets ou éléments plus ou moins déterminants des écritures propres à chacun, qu’elles soient pratiques régulières, tatonnements ou envies en gestation. Notre objectif est d’engager à l’écriture.
Ecrirea.tokyo s’adresse à des personnes qui écrivent ou envisagent d’y consacrer du temps et de la réflexion, et souhaitent partager des opinions et des questionnements. Notre objectif est d’explorer d’autres récits et approches narratives.
Ecrire à Tokyo en vraiment très long
Depuis juillet 2020 … Ecrirea.tokyo
- est une initiative de dialogue sérieux mais pas austère qui réunit des personnes impliquées dans, curieuses de, ou intriguées par l’écriture littéraire, en langue française d’abord, avec Tokyo et le Japon en toile de fond, hors du fétichisme, ceci à titre professionnel ou non, avec un rendez-vous mensuel en ligne.
- être publié n’est pas une condition qualifiante de participation
- le lieu géographique des participants est sans importance.
- Il n’y a pas d’inscription préalable. Il suffit de demander à figurer dans la boucle des annonces pour être tenu au courant.
- Ecrirea.tokyo est l’occasion de consacrer deux heures de dialogue thématique par mois et puis s’en vont jusqu’au mois suivant sur des sujets analytiques et créatifs autour des écritures littéraires, avec en ligne de mire d’autres récits, avec Tokyo et le Japon en fond d’écran plus ou moins proche.
- Même si certains participants sont des universitaires, Ecrirea.tokyo n’est pas académique.
- Ne soyez pas impressionnés par les sujets évoqués. Hormis la curiosité pour l’écriture littéraire, aucun diplôme n’est requis.
- Ecrirea.tokyo a pour ambition de créer du lien et développer des réflections innovantes autour de l’écriture littéraire avec Tokyo et le Japon en perspective à degrés variables, hors les adorations et calculs d’intérêts, pour quiconque écrit ou pense à l’écriture.
Le livre est disponible Si vous l’avez déjà acquis et l’avez apprécié, faites-le connaître, merci. Nous avons publié un premier recueil d’écrits d’auteurs indépendants. L’ouvrage est disponible depuis le 23 mai 2024. Plus de détails sur cette page.
Les rencontres mensuelles en ligne
Nous développons une dynamique faite de bonnes volontés, d’empathie, de cordialité et de sympathie – mais aussi d’opinions contradictoires et plurielles – réunissant en ligne des personnes qui écrivent et lisent, professionnellement ou pas, ou des personnes qui sont simplement intéressées par l’écriture littéraire en langue française (au moins), avec Tokyo et le Japon en toile de fond possible. Pour autant, les références évoquées dans les discussions ne se limitent pas aux sources de langue française mais couvrent aussi et au moins l’anglais et le japonais. Les rencontres mensuelles ouvertes et sans inscription servent à parler d’écritures littéraires à travers des présentations et échanges thématiques. Une session mensuelle est ainsi organisée depuis juillet 2020. Les sessions sont des moments agréables et souvent lumineux.
Quelles écritures? D’autres récits
Écritures inclut pour nous toutes formes, hormis écriture promotionnelle, intentionnellement commerciale, avec plan com et visé Netflix, quand bien même il faut payer le loyer, affabulations kitsch et autres fantasmes en mode pâmoison fétichiste voguant sur le japonisme adoratif contemporain aigu.
Nous cherchons à envisager le champ des possibles de l’écriture et des récits autres avec Tokyo et le Japon en perspective par la réflexion commune. Les participants résident au Japon parfois depuis plusieurs décennies, ou y font des passages, et s’inspirent aussi d’ailleurs mondiaux, tout en se soustrayant – mission déjà accomplie – avec lucidité et courage à la force de gravitation d’un domaine englué dans l’univers affabulé, quelles que soient les motivations, qu’est cette ”PassionSiFrançaisePourLeJapon”, bloc-sens qui bloque les perspectives autres, et se traduit entre autre et justement par la rareté d’une véritable production littéraire allochtone singulière.
Nous sommes pour un maximum de diversité générique, stylistique, tonale, etc. sans pour autant transiger avec certains partis pris éthiques qui sont les nôtres : d’autres récits, anti, anté, post, para-spectaculaires marchands.
Se situer hors la publiabilité
L’écriture est le sujet d’Écrire à Tokyo. La publiabilité est une option, pas une condition de l’écriture. Ne pas prendre la publiabilité en compte comme la donnée de base est une position clé. Elle permet d’ouvrir les persiennes sur les possibles de l’écriture littéraire, à commencer par les sujets impensés. Nous investissons les possibles d’autres récits.
La dés-organisation
Écrire à Tokyo n’est ni un réseau, ni une association, ni un organisme, ni un collectif, mais une dynamique sans inscription, un flux, souple, agile et ouvert démontrant la capacité et la volonté de faire ensemble, même lors de rencontres courtes dans le temps.
Ecrire à Tokyo est un moment de passage où se réunissent en ligne le temps d’une session mensuelle de deux heures environ des personnes pour lesquelles l’écriture de/sur/avec Tokyo et le Japon compte ou interpelle, pour parler d’écritures, et de lectures, puis disparaître jusqu’à la session prochaine, ce qui n’exclut pas un café ou d’autres boissons de temps en temps à Tokyo, des rencontres amicales et spontanées hors du Japon au gré de voyages de chacuns et de liens amicaux qui se développent en parallèle, et aussi des projets de recueils d’écrits en commun.
Tokyo comme Zone d’Ecriture, ou l’utopie concrète d’une résidence éclatée, mobile et itinérante en ville
Il s’agit d’une réflexion évolutive sur l’utopie concrète d’une résidence d’écriture éclatée et itinérante à Tokyo.
Réseaux sociaux
Ecrirea.tokyo est absent des réseaux sociaux.
Quelques thèmes déjà abordés ou envisagés
- Anatomie et taxonomie de cette “PassionSiFrançaisePourLeJapon”
- Tokyo au prisme du post-modernisme
- Les dispositifs de non-fiction
- Expériences de micro-édition
- Les écritures de la solitude
- D’autres guides touristiques et de voyages
- Détournement des récits gastronomiques
- Introduction à la micro-uchronie
- Les écritures neutres et blanche
- Les écritures d’enquête au Japon
- L’esprit des lieux
- Les écritures hors-sol : de l’impact de la mobilité sur les récits entre Japon et ailleurs
- Entre utopie et envie réelle : énoncer les conditions pour développer un autorat allochtone et l’utopie d’une résidence d’écrivain Ecrirea.tokyo située à Tokyo accessible aux écrivains résidants permanents.
- Politiser ses écrits : enjeux, risques réels et imaginaires.
- Chronique du non-événementiel et de l’ordinaire
- Uchronies intersticielles : fictionaliser le réel sans laisser de traces.
- Nouvelles écritures hédonistes sur le Japon : changer de braquets.
- Ecrire sans être publié.
- Diarisme : écrire au quotidien.
- Investir le diagrammatisme littéraire.
- Détester Tokyo : penser les écritures contre.
Ecrirea.tokyo étant une dynamique qui fait progresser la compréhension des choses, certains sujets sont réabordés sur la base des acquis et l’ouverture des chakras conséquents à des échanges et analyses antérieurs. L’univers est en expansion. Ecrirea.tokyo aussi.
Sessions en ligne
2020 : six sessions mensuelles, la première ayant eu lieu en juillet.
2021 : 12 sessions mensuelles dont trois de séminaires.
2022 : 12 sessions mensuelles.
2023 : 12 sessions mensuelles.
2024 : 11 sessions mensuelles.
2025 : Objectif 12 sessions.
Sur le don
Ecrirea.tokyo fonctionne sur le don, de son temps de participation, d’échange de savoirs, de savoir-faire, de son temps d’écoute, de réflexion, d’imagination, d’implication, d’empathie amicale.
Participer
Ecrirea.tokyo est une dynamique ouverte et participative. Nous sommes très attachés à éviter l’entre-soi et toute manière de snobisme. N’hésitez pas à entrer en contact.
Vous pouvez nous faire part de votre envie de participer ou d’être tenu au courant, ou poser des questions en envoyant un message à ecrireatokyo@gmail.com.
Vous pourrez participer ponctuellement ou régulièrement, même sans avoir suivi les séances précédentes.
Julien Bielka
Lionel Dersot
Bonus
Où écrire à Tokyo? Une sélection de lieux pour écrire à Tokyo.

